En ce temps là il n’y avait ni Facebook ni Internet…
On se réunissait chez l’un ou chez l’autre autour d’un « glous tey » avec un morceau de leykekh.
Une fois passées les discussions traditionnelles concernant les enfants, la santé et le travail, il y avait toujours quelqu’un dans l’assemblée … Lire l'article.