Les contes du Schtetl sur Seine

jean claude lonka

Le 28 avril 2015

Bonjour toutes et tous y compris ceux qui ne partaient pas avec les copains depuis la Place de la République à pied pour aller jusqu’en haut des grands boulevards pour aller dans l’un des cinémas ou bien pour regarder les danseurs à la Maxéville qui deviendra un cinoche, le premier àpasser les films de Bruce Lee.

Michel Mandel nous a passé un petit trésor. Je l’ai enregistré et le remet au propre. C’est un condensé d’histoires plus fourni qu’un Reader Digest.

Fréderic Viey s’est donné du mal pour notre bien nous les masoyids de l’histoire.

Dans les pages il y a ce que l’on ignore totalement, des fragments dont on a déjà la connaissance et aussi des pitzèlets d’oublis qui reviennent rien qu’en lisant.

Ca va me prendre quelques jours avant d’avaler ça mais je vais faire un tirage pour le faire brocher. Pour ceux qui n’étaient pas d’un quartier de Paris il y a ce dont Laurent Deutch ignore.

Pour ceux qui ne savent rien des mouvements crées en Pologne ou ailleurs votre Baden Powel caché (le créateur du scoutisme hein pas le chanteur magnifique) va faire un coucou.

Pour ceux qui ont zappé un tas de choses de l’histoire, c’est dans les pages écrites par Frédéric Viey et on en apprend des choses.

Pour J-C Jourdain mon seul mérite est d’avoir vécu rue de Lancry depuis 1951, puis en 79 je suis allé vivre rue Notre Dame de Nazareth, pour venirà Chelles en 84.

Mon père aimait connaitre le quartier où nus vivions. Il était curieux de savoir pourquoi telle rue portait ce nom comme la rue aux ours qui s’appelait la rue aux oues du temps où les volaillers exerçaient leur professions de vendeur d’oies. J’ai fais comme lui. 7

Parfois j’ai retenu, parfois j’ai gardé et parfois j’ai oublié.