Les contes du Shtetl sur Seine

jean claude lonka

Le 29 avril 2015

Bonjour à toutes et tous y compris à ceux qui ont piqué dans le porte monnaie de leur maman les premières pièces de 5NF en argent qu’elle cherchait à économiser pour vous envoyer en colo.

Parfois chercher sur le Net n’aboutit à rien.

On tape les mots que l’on pense important et il y a 1 million de propositions. J’avais fait des demandes dans plusieurs sites pour obtenir des renseignements sur le théâtre juif dans les camps de personnes déplacées et personne n’avait de réponse.

Depuis 2008 que je fouillais et partait sur la toile à l’aventure et Spiderman n’était pas fichu de me filer un coup de main. Je cherchais aussi des éléments sur le théâtre juif en France et dans Paris et que dalle.

Mais va savoir pourquoi, sur des propositions sur « gargle » j’ai tapé sur les pages 100 et 250 de ce que je lisais en bas et je tombe sur la perle.

Mon anglais je l’ai appris avec les chansons des Stones et je déchiffre lourdement les textes.

Je reconnais que depuis Jacques Baudoin qui dit «Aïe tèque ze pisse of tshaulk inde aïe wraïte onne ze blaque beau arde, inde maï sister iz note euh boye » je ne suis pas sur d’avoir fait de réels progrès.

Je reconnais que depuis Jacques Baudoin qui dit «Aïe tèque ze pisse of tshaulk inde aïe wraïte onne ze blaque beau arde, inde maï sister iz note euh boye » je ne suis pas sur d’avoir fait de réels progrès.

Donc je tombe sur la perle rare qui parle du théâtre yiddish.

On peut avoir par la traduction en français une meilleure compréhension.

Alors lire quelqu’un qui parle du théâtre yiddish et qui mixte Varsovie, Yidisher Kunst Teater, Paris, rue de Lancry, Léon Spigelmann (un pote à mon apa) et Robert Bobert ça ne peut être qu’une lecture qui amène un verre de vodka.

Le gars il s’appelle Gerard Frydman and the Yiddish Theater – Gerard Frydman, his Life in the Yiddish Theater in Paris by Cyril Robinson.

http://www.jewishmag.com/…/yiddishtheat…/yiddishtheater2.htm

Passionnante vue que celle de Frydman qui parle de ce qu’il a vécu et je me suis laissé emporter.